♢♢ Cause you don't feel pretty you just feel used
+ Dès qu'elle en a l'occasion, Alexy prend son skate et part sur la route afin de se vider la tête.
+ Elle adore le café, il est impossible de commencer une journée sans sa dose de caféine.
+ Elle est toujours sur son téléphone ou avec des écouteurs dans les oreilles.
+Lorsqu'elle est stressée ou gênée, elle se mord la lèvre inférieure.
+Elle se passe souvent la main dans les cheveux.
+Elle ne s'est jamais entendu avec ses parents et ce depuis qu'elle est enfant.
+Alexy fume énormément.
+Il lui arrive de toucher à la drogue de temps à autre mais très rarement et lorsqu'elle fréquente les mauvaises personnes.
+Elle ne regarde que très rarement la télé, préférant écouter de la musique ou regarder des séries sur son ordinateur.
+Sa série préféré ? The Walking Dead.
♢♢ There's no such thing as fate
« Qu'est-ce que tu as encore fais Alexy ! » Tu viens de te faire virer de cours, encore. Ta mère est furieuse et toi tu te contente de soupirer. De toutes manières, les cours, c'est pas fait pour toi, tu le sais et t'as beau le répéter plus on t'engueule. Alors tu la fermes et tu continues à faire des conneries afin de te faire virer. Tu montes dans ta chambre et met la musique à fond afin de te mettre dans ton monde.
« Ouvres la porte ! » Tu te lève et met un peu plus fort.
« Fous moi la paix ! » Ça à toujours été comme ça entre toi et tes parents. Tu te sens incomprise et ça te rend dingue. Ta mère redescendue, tu ouvres ta fenêtre, lance ton skate et saute ensuite sur l'herbe fraîchement coupée. Tu met tes écouteurs, lance une musique sur ton Ipod et roule vers un peu de liberté.
« Hey p'tite sœur ! » Ton visage s'illumine et un grand sourire étire tes lèvres lorsque tu vois ton frère. Il t'avais énormément manqué. Ça à toujours été comme ça entre vous, toujours proche.
« Hey bro' » Il te prend dans ses bras et tu le serres contre toi comme jamais.
« Laisse ton frère tranquille un peu, il vient de rentrer ! » réplique ta mère. Tu soupires et tu te retourne afin de lui faire face.
« Tu permet, je l'ai pas vu depuis une semaine et puis c'est lui qui est venu je te signale ! » Et là, tu le sais. Tu vois au regard de ta mère que vous allez encore vous prendre la tête.
« Sur un autre ton jeune fille ! » Tu entends ton frère soupirer.
« Vous allez pas vous battre alors que je viens de rentrer ! Maman, laisse Alexy respirer un peu ! » Tu le remercies du regard. Tout comme toi, il ne s'est jamais très bien entendus avec vos parents. C'est ton pilier.
« T'es sûr que tu veux faire ça p'tiote ? » Tu hoches la tête énergiquement. Les voitures, ça à toujours été ton domaine et ce, depuis ton plus jeune âge.
« Bien, je vais te prendre en essai alors. » Garagiste. Tu avais toujours voulu faire ça et on ne voyait que trop peu de femmes dans ce métier-là selon toi. Ce qui était vrai.
Après un essai d'un mois, il t'avait finalement embauchée, surpris par ton travail net et irréprochable. Et c'est là que tu l'a rencontré.
« Bonjour ! » Tu sors de sous la voiture que tu étais entrain de réparer, les mains pleines de cambouis. Tu t'essuie les mains dans ton chiffon et le remet dans la poche de ta salopette en jean.
« Je peux vous aider ? » Il est surprit, comme chaque personne que tu croise ici.
« Je m'attendais pas à ce que ce soit une femme qui travaille ici. » dit-il calmement, un léger sourire en coin.
« Ça vous pose un problème, vous pensez que les femmes ne peuvent pas faire le même métier que les hommes ? » Oui, ça t'agaçais mais c'est surtout son sourire qui t'énervais le plus.
« Loin de moi cette idée ! » Tu te détends alors et tu t'approches de sa voiture. Une vieille Jeep, un modèle que tu adores tout particulièrement pour toi même en posséder une.
« Quel est le problème ? » Il soupire, embêter.
« Le moteur fait un bruit étrange, ça m'étonnerai pas qu'il me lâche bientôt. » Tu ouvres le capot et regarde.
« Je vais m'en occuper. » dit tu simplement. Il hoche la tête, souriant légèrement.
« Ca va vous paraître bizarre mais, je peux vous offrir un verre pour m'excuser de mon comportement légèrement machiste ? » Tu hausses les épaules et souris.
« A une seule condition, que vous me tutoyer, j'suis pas une vieille à ce que je saches ! » Il rit et te regarde.
« La condition est valable pour toi aussi alors. » Tu souris et tu sais que cela va bien passer entre vous.
« Ça me va. »Depuis ce jour, vous ne cessez de vous appeler. Vous êtes devenus des meilleurs amis, des piliers pour chacun à un point que vous êtes devenus coloc'. Entre vous deux, c'est une grande histoire d'amitié qui ne fait que commencer.